Rappel: je parle de ce que je connais.
Épisode 3, contexte : c'est bientôt Noël !
La fac
Ah, chers internautes, si vous saviez comme c'est fatiguant d'aller deux fois par semaine en cours. Je m'explique : on finit par s'habituer et se complaire à larver chez soi, alors quand il s'agit de se lever pour 8h... y'a pas beaucoup de répondant, si vous voyez ce que je veux dire.
Cependant, cela ne m'empêche pas de travailler, au contraire ! Le seul problème c'est que je ne travaille que sur une seule chose : la note d'intention de mon mémoire.
La note d'intention, c'est un peu le truc qui te prend la tête, surtout quand ton prof référent a une vision assez ambitieuse de cette même note, du genre : "votre note est vo-tre mé-moire ! C'est le plus gros, après, c'est que de l'écriture ! Ah, et puis, il faut que deux entretiens soient réalisés ! Minimum ! Et je dois lire au moins 10 pages !"
La note d'intention, c'est en effet une note explicative sur tout ce que tu vas expliquer dans ton mémoire et comment t'y es parvenu-e. En gros, tes recherches doivent être finies.
La mienne (de note d'intention) est à rendre dans deux jours, c'est-à-dire mercredi qui arrive (nous sommes lundi). C'est un peu le rush, mais je suis dans les temps ; forcément, à avoir bossé que là-dessus depuis la rentrée de novembre...
En résumé, la seconde moitié de mon premier trimestre s'est déroulée tranquillement autour de mon mémoire : lecture, recherches, entretiens. Surtout recherche de personnes à interroger.
J'ai donc délaissé tout ce qui est :
- rédaction de lettres de motivation pour le stage
- révision de partiels
et je n'aurais peut-être pas dû. Non pas qu'une lettre de motivation soit très longue à rédiger, mais c'est plutôt les partiels qui m'inquiètent, parce que, comme tout le monde le sait, qui veut profiter un minimum des vacances de Noël n'a pas le temps de réviser pendant ces-dites vacances. Or, cette chère université qu'est Jean Monnet (tu sens l'ironie ?), n'ayant pas trouvé de prof pour mon option numérique, ni en septembre, ni en octobre, ni en novembre, a fini par nous trouver un prof (ou plutôt : mon prof référent nous a trouvé un prof) qui n'est disponible que la semaine de révision, du 14 au 18 décembre. La semaine de révision. Celle juste après la semaine rattrapage de cours, qui est faite pour rattraper les cours. C'est donc ainsi que BK. partira pour 26h de cours en 4 jours au lieu de réviser.
Cela dit, la manière dont le prof envisage l'option est plutôt intéressante (oui, on a eu un cours quand même, la semaine dernière), ça vaut le coup : je suis là pour ça, merde.
Et puis, les révisions, tant pis, je les ferai la semaine d'avant, et j'aurai tout oublié à la rentrée !
(Je rigole, bien sûr que je vais apprendre mes cours par coeur et lire 3000 livres en deux semaines.)
Le CELSA et autres orientations
Ben, en fait, j'ai rien fait, puisque je bossais mon mémoire.
Je surveille juste H24 les dates d'inscription et de concours. Et je regarde ma bibliographie en me disant qu'il faut que je m'y mette.
Par contre, je me pose pas mal de questions quant à l'orientation. Mon souhait s'assimile au métier de chargé-e de com : j'aimerais travailler au sein des institutions en tant que, mmh... "médiateur" entre le public et l'institution. Un-e chargé-e de com dit-e externe quoi. (En gros, un chargé de com cible quelle population pour tel projet, il analyse un peu tout ça.) (En super très gros.)
C'est entre-autre pour cela que je vise le CELSA et sa licence Communication des entreprises et des institutions. Et que je regarde Sciences Po qui propose pas mal de formations par rapport aux institutions.
Cependant. Je découvre l'infocom cette année. Je découvre un peu ce qu'est le numérique. Qu'est-ce qui m'intéresse, au fond ? Est-ce que le métier de chargé-e de com m'intéresse toujours autant ? Qu'est-ce que je fais du numérique, qui m'intéresse aussi ? C'est un peu tout ça dans ma tête, et ça serait bien que j'éclaircisse ce problème.
En résumé, à un mois et des poussières des partiels et à quelques semaines des vacances :
Mon quotidien de fac n'est pas bien passionnant, surtout que je suis à peu près absolument pas l'actualité des assos. Je bosse tête baissée, j'ai comme qui dirait pas trop l'impression de profiter de mon année en tant qu'étudiante, mais s'il faut ça encore un an pour "réussir"... L'important est de pouvoir et d'arriver à faire ce que l'on espère voir se réaliser ! (Ce que l'on a envie donc, mais tourné dans le sens "envie par rapport à mes études et mon orientation".)
Jeanne.
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