samedi 30 janvier 2016

SIC #5

Si l'Infocom m'était Conté

Aujourd'hui: un article très descriptif et plutôt empreint de ressentis personnels. Pour un meilleur témoignage hum.


Épisode 5, contexte : l'attente des résultats du premier semestre
Attention: article long, très long.


La fac

La fac, ah, la fac... elle ne cessera jamais de me surprendre !

Les options "pratique" (genre, tu pratiques quoi) ont commencé et c'est le rush aussi bien dans le temps (4 et 6 séances pour créer 1 et 1 projet, donc 2 projets en tout), dans l'espace (les cours n'ont pas lieu sur le campus habituel) et dans ma tête. Tu vois quand on te pose devant un truc que tu ne connais ab-so-lu-ment-pas et qu'on te demande de faire quelque chose avec. Ben voilà. On me demande d'être une agence de communication et j'avoue que la prépa littéraire ne m'a servi à rien sur ce coup là.

C'est donc la bascule, la chute, l'échec, tout ce que tu veux ; d'un coup tu sais plus pourquoi t'es en infocom, tu sens la pression de la note (qui compte quand même dans la validation de tes crédits, c'est important) et t'as très envie de bien faire mais tu commences par faire n'importe quoi tellement t'es stressé-e. Pour ma part j'ai commencé à râler contre le monde entier

— petite parenthèse: je ne râle pas seulement parce que les projets ont été mal présentés et que je suis complètement décontenancée parce que pas du tout préparée, c'est un ensemble de choses qui ne fonctionnent pas à la fac, comme des cours d'option qui n'arrivent jamais et des notes de partiels qui tardent à venir (et que ça décale la réunion du jury...), des désaccords avec des profs et des élèves et beaucoup de ressentiment envers le système même de la fac.

Donc, j'ai commencé à râler et à me refermer sur moi-même. MAUVAISE RÉACTION.
Ok, je suis devant un mur de 10000km; ok, j'ai l'impression d'être nulle et de ne servir à rien; mais voyons les choses positivement.

Être mise au pied du mur doit m'apprendre à gérer mes émotions (angoisse, stresse, perte de repères); considérons que cela fait partie de l'évaluation continue, le tout est de respirer un grand coup et de prendre le temps de réfléchir. Ne pas en vouloir au monde entier pour rien.
Ensuite, finalement, c'est enfin le moment tant attendu: la réalisation de projets concrets (dans une certaine mesure du moins: tu travailles sur un projet mais il ne sera pas réalisé matériellement). C'est le moment où t'apprends le plus de choses.


Et des choses, il y en a à apprendre.

Exemple: pour le projet sur 6 séances (de 2h, 8h pour la réalisation même du projet), où un groupe représente une agence de communication (5 groupes en tout). Le sujet d'étude est "la communication publique d'un événement dans l'espace public, d'une structure culturelle ou d'une entreprise, de machin truc etc etc". Avec mon groupe, nous avons bien interprété certaines consignes (réinterpréter le logo/l'affiche etc) mais nous sommes partis à la base sur un truc complètement à côté de la plaque: nous avons imaginé un événement (d'une structure existante). OR il fallait prendre un événement DÉJÀ existant. Gros fail donc dès la 2e heure, mais mieux vaut se fracasser tôt que tard. Mea culpa comme on dit. -10 points sur la note finale.

Là où je veux en venir, c'est que mon groupe est parti sur de l'événementiel OR NOPE. Une agence de com ne fait pas l'événementiel mais la com. L'agence de com donne un coup de neuf à l'image de la structure qui organise un événement.

Enfin, voilà, c'était une anecdote pour expliquer un peu pour celles et ceux qui ne connaissent rien comme moi ou qui sont dans d'autres formations ce que l'on pouvait apprendre après les cours théoriques.

Pour celles et ceux à qui ça arriverait de se sentir soudainement très nul-les:
la question de l'orientation, du "qu'est-ce que je fais ici" devient une question très sérieuse. On se demande vraiment ce qu'on fait dans cette formation, et on se dit vite "j'aurais dû faire ça ou ça". Il faut y réfléchir, certes, mais pas tout changer sur un coup de tête. Je crois que la période un peu difficile de janvier-février l'est pour tout le monde (rappelez-vous en prépa) et qu'il ne faut pas se laisser abattre trop vite. Et surtout ne pas se laisser dominer par son ressentiment vis-à-vis de qui ou de ce que vous voulez. Quand t'es dans une formation et que l'année scolaire est avancée, à moins d'être vraiment déprimé-e ou oppressé-e, il faut prendre ce que l'on a sous la main et patienter jusqu'aux vacances d'été.

Je crois en avoir fini pour cet article avec la fac. Je vais me concentrer sur les cours d'option (et toujours le fichage des CM mmh), en essayant du mieux que je peux d'organiser tout ça avec la préparation des concours, qui arrivent à très grand pas.



Le CELSA et autres orientations

Alors ça y est, on y est vraiment, on est inscrit au concours du CELSA (je parle de moi à la troisième personne du singulier, oui, tout à fait) pour la licence "Communication des entreprises et des institutions". J'ai longuement hésité avec "Médias et communication" et je me suis rendue compte qu'il était plus facile de se former par la suite et personnellement aux médias et au numérique qu'à la com des entreprises et des institutions. Et puis, ça rentre dans mon projet d'être chargée de com.

J'ai commencé à bosser dur, c'est-à-dire que j'ai regardé la bibliographie droit dans les yeux, je lui ai dit "toi, tu vas morfler", et j'ai trié les livres que j'allais lire et ceux que je n'allais pas lire. En sachant que j'en ai déjà lu quelques-un, figurant ou non dans la biblio du CELSA, pour la fac, et qu'il est impossible (et peut-être inutile) de lire TOUS les livres de la biblio.

J'ai donc trié: en sachant que je suis des cours de L3 information-communication et que je tente un concours pour... une L3 information-communication, comment dire; l'avantage est que le tri est vite fait dans la biblio puisque certains livres sont très généralisant et recoupent donc les cours que je suis cette année. J'ai donc choisi de lire ceux-ci (dans le désordre et écrits de façon non conventionnelle bibliographiquement parlant) :

Pour la première épreuve, commune à tous les parcours:
- A. MATTELART, Histoire de la société de l'information, La Découverte, 2006.
- Y. WINKIN, La nouvelle communication, Seuil, 1981 (éd. 2000). (à lire aussi pour la L3)
- D. WOLTON, Informer n'est pas communiquer, CNRS, 2009. *
- D. WOLTON, Il faut sauver la communication, Flammarion, 2005. *
Pour la deuxième épreuve, spécifique à chaque parcours:
Communication des entreprises et des institutions:
- B. FAURÉ, N. ARNAUD, La communication des organisations, Repères, 2014. *
- JM. PERNOT, Syndicats: lendemains de crise ?, Gallimard, 2005.
- E. NEVEU, Une société de consommation ?, Montchrestien, 2006.
(et j'aimerais beaucoup trouver:)
- JP. BEAUDOIN, Être à l'écoute du risque d'opinion, Éditions d'Organisation, 2001.
- P. CHARAUDEAU, Le discours politique: les masques du pouvoir, Vuibert, 2005.
* : en fait, ne figurent pas sur la biblio du CELSA.

(Si je compte les ouvrages qui m'ont intéressé pendant les vacances d'été, j'en ai 6 autres lus ou à lire, et avec la biblio de L3 qui grossit au fur et à mesure de l'année, j'ai arrêté de compter.) (Que n'ai-je point lu L'invention du quotidien de De Certeau quand j'étais encore en prépa, cela m'aurait fait un ouvrage en moins à lire !)

Enfin, "lire"... disons que ça serait bien si j'arrivais à tous les lire, car ils apportent quelques infos en plus, et je ne connais absolument rien sur certains sujets (comme les syndicats, je pleure rien qu'en lisant le livre).
À noter aussi que beaucoup d'ouvrages de la biblio du CELSA figurent aussi dans celle de la L3, donc il est possible que je les ai déjà lus. Ou ouverts. De plus, certains que j'avais achetés pendant les vacances d'été (comme Histoire des théories de la communication, de Mattelart) font redites avec les cours donc je peux les revendre tranquille après avoir jeté un oeil sur le côté critique.


Je compare aussi un peu avec les annales du CELSA (le sujet des concours des années précédentes donc), pour voir ce qu'on attend d'un candidat. Bon, à part que ça fait flipper, c'est assez intéressant par rapport à la biblio, on voit ce qui peut vraiment servir ou non.

Note: je n'ai pas encore commencé à m'entrainer en faisant ces annales parce que c'est un peu tôt je trouve (je l'ai déjà dit dans je ne sais plus quel article).

Note 2: Certain-es candidats ne jettent même pas un oeil à la biblio. Certain-es ont eu le concours; après, tout dépend de soi, des capacités que l'on a et que l'on a conscience d'avoir; pour ma part, je ne pense pas être assez mature, ou peut-être "mûre", pour avoir un regard assez critique et une réflexion complète.

Petite astuce: les gros pavés de la biblio du CELSA ne sont pas les livres les plus passionnants de la Terre, je lis donc ceux qui ont l'air vraiment, vraiment, vraiment soporifiques en premier (celui sur les syndicats par exemple...). Après, c'est une question de goût !


Pour ce qui est des IEP:

je ne sais toujours pas à quel concours je m'inscris. Celui de Grenoble, sûr, car l'admissibilité (première phrase de l'admission, celle des écrits généralement) se fait sur dossier. Alors, pourquoi pas tenter, c'est pas vraiment un concours écrit (pas de transport, tout ça).
Mais attention, c'est pas un p'tit dossier tout nul, non; de ce que j'ai pu voir, il y a une première partie centrée sur le-la candidat-e, son parcours, son futur, et une seconde partie sur ce qui a amené le candidat à choisir (en l'occurrence) la communication: une bibliographie notamment à constituer.
Enfin, c'est ce que j'ai aperçu, car les dates pour Grenoble ne sont pas encore sorties.

J'hésite entre Toulouse et Bordeaux (et Lille aussi, mais le concours est le même jour que celui du CELSA, exit donc Lille). Les masters ont leurs avantages et leurs inconvénients que je ne vais pas détailler ici parce que c'est chi... ennuyant. Par contre, le gros gros problème, c'est que la maquette de présentation de Bordeaux est DÉ-GUEU-LASSE. Je peux pas dire autrement. On ne comprend rien, seuls les intitulés des cours (et encore) figurent dans un tableau gris et moche où rien n'est mis en avant. Tandis que la maquette de Toulouse est super bien faite, il y a même un descriptif des cours quand les profs l'ont ajoutée.
C'est dur d'être objective dans ce cas là.

La devinette de l'article: où est la plaquette de Bordeaux, où est la plaquette de Toulouse ?
(clique pour voir en plus grand)


Bravo, la plaquette de droite est bien la plaquette dégueue de Bordeaux.


À noter que pour entrer en M1 dans la majorité des IEP: un dossier est demandé en préalable des épreuves écrites. Du genre "retracez votre parcours" ou "pourquoi la communication" ou "plutôt patate ou plutôt tomate ?"; enfin, un dossier de "personnalité" pour entrer dans une école (comme pour les écoles de commerce, mais en un peu moins détaillé).



En résumé, quand t'es déprimé-e au mois de janvier:
C'est le moment où tu commences à baisser les bras, mais en fait concrètement c'est absolument pas le moment. Tu n'as pas bossé au premier semestre parce que c'est pas tes 7h de cours par semaine qui te faisaient bosser, et le gros rush des cours du deuxième semestre compilés avant le stage (dont je vous parlerai dans un autre article SIC) te tombent dessus comme le ciel sur la tête d'Astérix. Alors tu prends ton courage à deux mains, t'arrêtes de pleurer sur ton triste sort, et tu te reconcentres.

Jeanne.

PS: si vous ne l'aviez pas remarqué, cet article est sponsorisé par Kaamelott (ou pas).

lundi 18 janvier 2016

Up: lancement de la saison 2016-2017 chez...



LE CROUS:
Vous pouvez à présent faire votre demande de bourse et/ou de logement !
Vous avez jusqu'à quelque chose comme le 31 mai pour envoyer votre dossier. Passée cette date, il ne sera plus traité en mode prioritaire, mais vous pouvez bien sûr en envoyer après cette date !
En suivant le lien du nouveau site tout propre "Mes services étudiants": clique clique.

LE CELSA:
Depuis le 16 janvier, vous pouvez vous inscrire au concours de licence 3 ! En suivant ce lien qui mène à l'inscription hors-BEL: ici clique ici.
Si tu passes le concours master journalisme hors-BEL: clique ici.
Si tu passes le concours licence 3 via la BEL: clique ici.
Si tu passes le concours master journalisme via la BEL: clique ici.
(En fait, les deux précédents liens sont sensiblement les mêmes. Vous êtes sûr de pas vous tromper comme ça.)
Note: la formation journalisme n'est accessible qu'au master, c'est-à-dire à bac+3, sur concours.

LES IEP:
Depuis début janvier, vous pouvez surfez entre les différents sites des IEP pour constater que les inscriptions aux concours de master 1 (première année de master) ont commencé !
Quelques dates d'inscription aux concours de master 1 que j'ai notées:
- Bordeaux: du jeudi 7 janvier au lundi 7 mars 2016
- Lille: du vendredi 15 janvier au mardi 1er mars 2016
- Lyon: du jeudi 7 janvier au jeudi 25 février 2016
- Rennes: du lundi 8 février au vendredi 15 avril 2016
- Toulouse: pas encore de dates
- Grenoble (sur dossier): pas encore de dates
- Aix: pas encore de dates (ou alors je les ai pas trouvées)
(Je vous laisse le soin d'aller voir les sites respectifs des IEP pour suivre la procédure d'inscription aux concours...)



À bientôt pour le prochain SIC où je parlerai enfin un peu dans les détails des concours CELSA/IEP !
Jeanne.



mardi 12 janvier 2016

SIC #4

Si l'Infocom m'était Conté

Aujourd'hui un article plutôt subjectif et personnel, mes excuses, mais au moins ça change un peu... !


Épisode 4, contexte : post-partiels.

La fac

Après cinq malheureux partiels de 2h étalés sur 3 jours, je suis complètement hébétée. On perd l'habitude des contrôles aussi... longs... On perd l'habitude des examens tout court, et les examens eux-mêmes ne nous aident pas trop.

Déjà, ils se suivent, de 8h à 12h30, tu passes 2 partiels; non pas que ça soit fatiguant, mais parler culture de l'image puis anthropologie, c'est compliqué pour ton cerveau parce que ça n'a pas grand chose à voir.
Ensuite, et surtout, les examens. Sérieux. Ils nous ont pris pour des maternelles. Alors, je veux bien savoir que dans ma L3 infocom (à Jean Monnet Saint-Étienne), on n'a pas beaucoup d'heures de CM (cours magistraux) par trimestre (18h au grand max par matière). Je veux bien savoir que les profs sont occupés. Je veux bien savoir qu'ils ont un fond bienveillant. MAIS faire une dissertation sur le cours ET exclusivement le cours. Non.
Tu recraches littéralement ce que tu as appris par coeur, dans le même ordre que le plan du cours. Il était à peu près impossible de dire autre chose que ce qu'il y avait écrit dans le cours. Donc, en gros, à la sortie de l'exam, tu ne sais absolument pas combien vaut ta copie.

Les profs (pardon, les enseignant-es chercheurs-ses) nous ont beaucoup répété que leur cours représentait 1/3 de notre travail, et que les deux autres tiers étaient notre travail personnel, entendons-nous bien lectures de livres d'articles de biographies et de curiosité personnelle, mais quand je suis arrivée devant un sujet qui se basait exactement sur la problématique du cours, et devant un autre qui posait des questions exclusivement sur le cours (sauf une question piège, qui permettait de réfléchir un peu, mais on n'a même pas su saisir l'opportunité tellement on en savait rien); j'ai bien rigolé en pensant à toutes les fiches et les articles que j'avais lus.

Le problème, c'est que tu sais que tout ce que tu as mis dans ta copie est juste, puisque c'est le cours quasi au mot près; mais seulement, est-ce que ça vaut quelque chose.

Donc maintenant j'attends, je suis partie déprimer, maudire l'humanité universitaire toute entière dans mon coin et je suis allée faire les soldes.


Non, sans blague, voilà ce qu'il vous attend si vous entrez en L3 infocom à Jean Monnet.
Après, c'est cool et easy les partiels, c'est sûr !
J'étais même un peu dégoûtée que la moitié des étudiants qui avaient arrêtés d'aller en CM la deuxième semaine d'octobre ait autant de chances que nous d'avoir une bonne note, puisque bien sûr ils avaient récupéré les cours auprès des autres étudiants (mais pas auprès de moi, nope, sorry, mais quand on vient pas en cours, on assume).

Soit dit en passant, ça ne se passe pas comme ça dans toutes les facs (je dis bien facs, et non universités, c'est-à-dire chaque "secteur" d'université, comme l'infocom, les langues, le droit...).
J'ai des ami-es en anglais et en lettres mo qui ont des partiels de 3h minimum avec vraie dissertation (réflexion tout ça), étude de texte, d'article...

J'aime pas trop cracher sur l'institution dans laquelle j'étudie; finalement, ça m'énerve plus égoïstement parce que j'ai peut-être fait un mauvais choix, mais retenez bien que l'endroit dans lequel j'étudie est l'endroit dans lequel j'étudie, point, j'ai déjà de la chance de pouvoir étudier, avec des bons ou des mauvais moments, je veux dire, si on fait son maximum, si on se préoccupe de son avenir et pas de celui du BDE d'à côté, la forme des partiels importe peu. Alors oui on, je peux râler, mais ça changera pas grand chose, pas ça du moins.

Vivement que je me remette à travailler le mémoire, ça m'occupera.


Le CELSA et autres orientations

Et bien, à part avoir écrit les dates du CELSA un peu partout où je passais, je me suis juste dit qu'il fallait que je m'y mette sérieusement.

Toujours un gros doute quant à l'orientation, le domaine culturel et communication des institutions n'offrant pas une perspective d'emploi chatoyante, je pense à me reconvertir en dalaï lama.
Mais c'est ça qui est beau, d'avancer dans l'infocom est de s'apercevoir que d'autres domaines nous intéressent et offrent peut-être un peu plus de perspectives (je pense au numérique notamment) (car, non, je ne me reconvertirai pas en dalaï lama !). (En vrai, je suis pas aussi calme, dans ma tête c'est un brainstorming permanent.)

Ah, et aussi, point conseil du jour:
les facs et les écoles commencent à mettre en ligne leurs dossiers de candidature (car oui, dans certaines écoles, il faut aussi un dossier) pour les masters, tenez-vous au courant !


En résumé, à un mois des résultats des partiels :
en sortant des partiels, tu ne sais pas si tu auras ton semestre ou non.

Jeanne.

dimanche 3 janvier 2016

Up: les statistiques de BKhagne

Un petit article pour le fun, pour vous détendre en cette veille de rentrée !
Voici la face cachée du blog: les statistiques.


Ami-es russes, si vous repassez par ici, dites-moi pourquoi vous êtes là !

Les statistiques de ce blog sont plutôt rigolotes et inattendues par moment. Je me répète mais je ne m'attendais pas à avoir autant de visites (vu que je ne travaille pas du tout le référencement du blog sur Internet), et c'est toujours cool de se dire qu'il est peut-être utile !
Merci beaucoup à vous qui passez, j'espère que ça valait le coup de jeter un oeil !



Les gens, entre Noël et le nouvel an, ils ont rien d'autre à faire que stresser...

Mais tout s'explique:


L'inscription sur la BÈÈÈL *voix glaçante et chevrotante*

No stresse les ami-es ! Il faut bien penser à s'inscrire, mais vous êtes encore dans les temps, donc tout baigne. N'oubliez pas de vous inscrire sur chaque site des écoles autres que l'ENS que vous présentez avec la BEL !

Et enfin, petite fierté perso:


Je considère les images comme très, très, très importantes dans des articles comme les "miens". Ça serait barbant sinon, et rien de mieux qu'une image pour expliquer, ou pour s'exprimer (d'où les "gif", les images animées qui peuplent ce blog).
Donc, je suis contente que ça marche, car comme l'image ci-dessus le montre, la majorité des visites proviennent de clic d'images.

Bonne rentrée et bon courage à toutes et à tous !
À bientôt pour le prochain SIC (Si l'Infocom m'était Conté) !

Jeanne.